• EVALUATION : Une première victime ?

     Alors que l'évaluation peine à se mettre en place, il semblerait bien qu'elle ait déjà fait une première victime : le DRH lui-même, Gérard Chesneau .

     On se souvient en effet que Gérard disposait d'une Mégane de fonction louée par la Ville en 2003 (Décisions Municipales n°01/03 du 7 janvier 2003 et 15/03 du 5 février 2003).

     Cette voiture de fonction lui permet de rentrer tous les soirs chez lui, à Coulaines près du Mans (Sarthe). Par l'autoroute, pris e n charge quotidiennement par la mairie, et avec l'essence pompée gracieusement sur les cuves du Centre Technique Municipal ou avec une carte Total payée par la Mairie, c'est moins d'une heure chaque soir (avec retour à Laval le matin).

     Et Gérard ne perd pas de temps au péage, puisqu'un petit boîtier discrètement installé dans la voiture municipale, lui évite de faire la queue : le prix du péage est directement prélevé dans les caisses de la ville par les merveilles de l'informatique. Le trésorier municipal (agent de l'Etat), dont les supérieurs sont pourtant éch audés par ailleurs avec l'affaire du trou de la régie de Laval-Spectacles, n' y voit rien ( ce qui est d'autant plus comique, ou triste, comme l'on voudra, que lui aussi rentre tous les soirs au Mans, par le train et à ses frais, bien évidemment, car à l'Etat, on est vertueux, puis il finit son trajet en vélo).

     Gérard, donc, vient de toucher une nouvelle voiture de fonction, toujours aux frais du contribuable, car sa mégane est à bout de souffle et a dépassé son forfait kilométrique.

      Son patron, le Directeur Général, a lui aussi obtenu un véhicule municipal neuf quelques jours avant son départ en vacances, ça tombait bien... Il a ainsi déjà fait quelques milliers de kilomètres aux frais du contribuable lavallois, pour les besoins de ses congés payés.

      Une décision municipale n°53/06 du 27 juin 2006 a donc permis de louer à la société DIAC un superbe espace Renault bien équipé pour le DG au prix de 562 euros TTC par mois, soit 6 744 euros par an, soit 26 976 euros pour les 4 années à venir, pour 90 000 km (soit 176 950,96 Francs).

    Et une décision municipale n°54/06 du 27 juin 2006 a mis à la disposition de Gérard un nouveau véhicule : OUI, mais une CLIO !!! (et que pour 24 mois, à 333 euros TTC par mois, avec forfait kilométrique de 80 000 km).

    80 000 km, c'est quand même 2 fois le tour de la terre…

     C'est 166 km par jour ouvrable : pile l'aller-retour Le Mans – Laval !

     Que se passe-t-il ?

     Pourquoi une telle chute dans la gamme ?  Nous connaissons bien le système d'Aubert, et ce n'est pas innocent.

     Chacun se souvient qu'un directeur en perte de vitesse s'était vu retirer son véhicule de fonction et ainsi "mis à pied" au sens littéral du terme.

     Dans le système d'Aubert, la voiture de fonction est, en effet, un attribut essentiel : la prébende suprême.

     Elle est un outil d'évaluation !

     Et c'est là que se trouve la réponse du changement de modèle : Gérard serait en disgrâce !!!

      Il a été évalué, et la clio est le résultat de son évaluation.

     Prochaine étape : une Traban, puis la voiturette (4 heures pour rentrer au Mans et interdiction d'autoroute), et enfin le changement de serrure...






        Dans son rapport 1998, la Chambre Régionale des Comptes avait pourtant rappelé à l'ordre d'Aubert en lui intimant l'obligation de respecter la loi. Les magistrats écrivaient alors :

     "Plusieurs cadres de la commune sont autorisés pour leurs besoins professionnels et personnels à utiliser un véhicule municipal ainsi qu'une carte permettant de se fournir en carburant et de régler les péages autoroutiers ; un tel avantage déroge au principe de parité entre les fonctions publiques d'Etat et territoriale rappelé par le Conseil d'Etat (2 décembre 1994, Préfet du Nord). A cet égard, vous précisez que ces dispositions font l'objet d'une remise en cause et que les véhicules municipaux ne devraient plus être utilisés que pour les besoins exclusifs du service".

    D'Aubert n'en a tenu aucun compte, s'estimant sans doute au-dessus des lois. Mais il manie le choix du modèle comme un outil de management.




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  • Une enquête exclusive du Vecteur Libre et Indépendant

    SCANDALE  à  LAVAL !

      Le Bulletin municipal "LAVAL INFOS" n°115 de septembre 2006 contient un article scandaleux.

     Nous ne faisons pas là allusion au portrait dithyrambique de M. d'Aubert en page 15, à l'occasion de sa remise de légion d'honneur par M. Raffarin (après tout, on n'est jamais mieux servi que par soi-même !).

     Certes, sa modestie a dû souffrir : entre les photos de la famille, des admirateurs et de Jean-Pierre Raffarin, le texte est digne de Ceaucescu : on le découvre "très attaché aux règles strictes de la gestion publique" (allusion sans doute au trou de la régie de Laval-spectacles…), en charge du "dossier mondial de l'énergie post-nucléaire", etc…

     Bref : "les lavallois ont de la chance"…

     Non, cet article nous fait marrer, il ne peut pas faire de mal à quiconque…

     En fait, le scandale se trouve page 21, dans un encart au milieu d'un article sur la Ière guerre mondiale. Il s'agit de la photo de "La Nouvelle Revue d'Histoire" (NRH) dont le journal à d'Aubert assure la promotion gratuite avec cette mention particulière : "Une revue d'histoire épatante, sans équivalent sur le marché actuel, car rédigée par des historiens lassés par les interprétations partiales de l'histoire… six numéros par an".

     En fait, si certains articles sont signés par de grands historiens à la réputation impeccable, qui dirige cette revue ?

     Le directeur de la publication est Dominique Venner, qui a dirigé dans les années 60 le journal et le mouvement d'extrême-droite "Europe-Action", créé en janvier 1963 avec Pierre Sidos, issus tous les deux de "Jeune Nation", et ce avec des membres de l'OAS et d'anciens collaborateurs comme Lucien Rebatet.

     Autres éminents membres importants de la NRH :

     Jean-Jacques Mourreau, fondateur du GRECE (mouvement d'extrême droite) et ancien directeur de la communication de Jean-Marie Le Pen.

     Philippe Conrad, également dirigeant du GRECE, est universitaire à Lyon III.

     Bernard Lugan, universitaire à Lyon III, la sulfureuse université mêlée régulièrement aux thèses révisionnistes et négationnistes, avec Bruno Gollnisch, n°2 du Front National.

     Au sujet de Lugan, Le Monde du 2 avril 1993 écrivait :

     "Spécialiste de l'Afrique, auteur de "l'Occident sans complexe", autrefois militant de l'Action Française et monarchiste convaincu, M. Lugan paraît, chaque Mardi Gras devant ses étudiants de première année, déguisé en "colon", coiffé d'un casque et muni d'un fouet".

     Il écrit régulièrement dans la presse d'extrême-droite : Minute, Présent, National-hebdo, Identités, etc…

     Bernard Lugan (qui a été membre du Parti Républicain, comme d'Aubert) tient une rubrique régulière sur "Radio Courtoisie" et écrit régulièrement dans "Le Libre journal de la France courtoise" (qui n'a de courtois que le nom !). Au sommaire du n°381 du 22 juin 2006, des articles intitulés : "de Gaulle raciste" ; "Voltaire, salaud, le peuple aura ta peau !" ; "Sursis pour le fils du roi nègre"…

     D'Aubert et Laval infos ne sont pas les seuls à vanter la "Nouvelle Revue d'Histoire" : sur "Blog-identitaire.com", un éditorialiste identitaire écrit : "Décidément, la simple existence de la Nouvelle Revue d'Histoire et sa qualité m'incitent à croire que l'avenir nous appartient" (voir).

      Pourquoi cette promotion de cette obscure revue dans le bulletin municipal de Laval ?

     En fait, ayant perdu un procès (17 mai 2006, Cour d'appel de Paris, 4ème Chambre), la revue doit débourser 45 000 euros, et sa survie est en jeu. Toute l'extrême droite se mobilise pour la sauver. 

    Laval infos n'en est pas à son coup d'essai. Souvenez-vous la polémique déclenchée par des articles élogieux sur les "écrivains maudits" de la collaboration (n°55 et 56 de Laval infos, novembre et décembre 2000).

    Souvenez-vous également des polémiques déclenchées en mars 1998 par le soutien de François d'Aubert à Charles Millon, alors président du Conseil Régional Rhône-Alpes, élu avec les voix du Front National.

    D'Aubert avait retiré sa délégation d'adjoint au Maire à Roger Grandière qui s'en était publiquement offusqué (Ouest france 30 Mars 1998; courrier de la Mayenne 28 mai 1998)…

    Souvenez-vous également de l'éloge du journal d'extrême-droite Minute n°2051 du 1er mai 2002  (page 7) sur le député François d'Aubert, et les réactions qui s'en étaient suivies. 

    A quelques pages du reportage de sa remise de la légion d'honneur, M. d'Aubert aurait pu s'abstenir d'une telle publicité pour une revue aussi sulfureuse…





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  •  Le préfet de la Mayenne a invité les représentants FO Municipaux Laval à le rencontrer, le vendredi 4 août 2006, à 10 heures. C'est donc le nouveau secrétaire général, le sous-préfet Ludovic GUILLAUME, et le directeur du contrôle de légalité qui ont reçu nos collègues.

     A l'ordre du jour : l'affaire Le Lay.

     Rappelons les faits :

     L'ancien directeur général des services techniques de la ville de Laval a simulé un départ en retraite, avec cérémonie et cadeaux à l'appui le 15 décembre 2005.

     En fait, FO a découvert qu'il n'en est rien, et l'intéressé a monté avec d'Aubert un petit stratagème : utiliser la disposition du "congé spécial" prévue pour les cadres déchargés de fonction (c'est à dire perdant leur emploi en fin de carrière), ce qui permet à Le Lay de bénéficier pendant 5 ans (jusqu'au 31 mars 2008 dans l'immédiat, élections municipales obligent) de l'intégralité de son traitement sans travailler.

     Cela ne lui suffisant pas, il a ouvert un cabinet d'architecte, travaille pour des satellites de la Ville en infraction avec l'article 432-13 du code pénal et à l'avis de la commission de déontologie en date du 2 novembre 2005.

     Et comme décidément il est soucieux de bien occuper sa fausse retraite et de gagner encore plus, il a réussi à se faire inscrire sur la liste des commissaires enquêteurs en faisant une fausse déclaration de "retraité".

     Bien évidemment le Vecteur Libre et Indépendant, qui a publié un dossier complet sur son blog, dispose de tous les documents et de toutes les preuves qui ont été remises au préfet.

     Rappelons que les deux compères, d'Aubert et Le Lay, ont déjà été condamnés à 2 reprises pour de semblables agissements sur le fondement de l'article 432-13 du code pénal : par jugement du Tribunal Administratif de Nantes n°96-3720 du 30 novembre 2000 et par arrêt de la Cour Administrative d'Appel de Nantes n°01NT00157 du 6 décembre 2002.

     Il est bien évident que le préfet marche sur des œufs : il sait combien d'Aubert est puissant.

     Mais ne pas réagir alors qu'il détient désormais le dossier n'est plus possible.

     Que deviendrait la loi Fillon sur les retraites si tous les fonctionnaires de France réclamaient le bénéfice d'un congé spécial (être payé pendant 5 ans sans travailler), alors que les systèmes de pré-retraites, bien moins généreux, ont été supprimés ? et qu'il faut désormais racheter au prix fort les années d'études ? et que le stratagème est tout bénéfice pour Le Lay car il lui génère de la sur côte pour sa vraie retraite ?

     Que deviendrait l'intégrité de la fonction publique si un fonctionnaire d'autorité passant au privé peut ensuite travailler pour des collectivités ou des sociétés qu'il a eu à contrôler ?

     Nous tiendrons les contribuables lavallois et tous les fonctionnaires de France au courant de ce que le préfet de la Mayenne décidera et mettra en œuvre pour faire respecter la loi. 




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  •  

     La gestion d'Aubert est de nouveau sévèrement épinglée en cet été 2006. La population s'insurge contre le manque de toilettes publiques et la saleté de celles, "à l'ancienne", qui existent encore.

     L'été 2005 avait vu le désastre de la politique culturelle : la fermeture de la chapelle St-Julien et de son exposition pour cause de chute de pierres, puis l'invasion de morpions et de poux au musée du Vieux château, entraînant également sa fermeture et celle de la biennale.

     

    Un dossier bien emm…

     En cet été 2006, c'est les toilettes publiques qui sont en cause, un équipement dont les lavallois et les touristes auraient bien besoin chaque jour, ce qui la fout mal pour une équipe municipale baptisée "Laval au quotidien". Après les poux et les morpions, l es mouches…

      Ouest France a publié une enquête particulièrement "fouillée" dans son édition du 9 août, interrogeant des usagers désemparés, des commerçants "emmerdés", et décrivant des jardins publics transformés en petits coins improvisés :

     Les toilettes publiques place du Jet d'eau sont en dérangement depuis un mois. Difficile pour les femmes de trouver des petits coins, propres de surcroît.

     « Maman, j'ai envie de faire pipi », réclame le petit Nicolas âgé de trois ans à sa mère Magali. Elle est bien embêtée car au parking du Britais, derrière la rue du Général-De-Gaulle, les toilettes publiques sont fermées. En centre-ville, il s'avère difficile pour les femmes, les enfants, ou les personnes âgées de trouver des W-C ouverts, et propres.

     Jacky et Isabelle viennent de Fougères et se retrouvent eux aussi devant la porte close du Britais. « On préférerait à la limite qu'elles soient payantes plutôt que publiques et fermées. » Cela fait près de « trois semaines qu'elles sont en panne », précise un employé municipal. « On attend une pièce pour les réparer. »

     Derrière la place du Jet d'eau, la baraque verte qui abrite un W-C public est quant à elle barricadée depuis un mois, à la suite d'un incendie volontaire. « Ils étaient neufs, avec nettoyage automatique, et même un robinet pour se rafraîchir. Ces toilettes dépannaient bien », regrette Sylvie (1) qui déjeune dans le parc voisin.

     Ce n'est que depuis vendredi que la mairie a fait installer « des toilettes chimiques, en attendant l'expertise de l'assurance, et la réfection », précise Roland Houdiard, premier adjoint. Toutefois, jusqu'à lundi, le cabinet pour femme était encore fermé avec un cadenas.

     Pendant un mois, les femmes étaient bien embêtées. Les hommes eux ne se gênaient pas. Monique tient la sandwicherie « la Fringale », au square Foch, et a pâti de l'absence de toilette en centre-ville. « Les personnes âgées, et les parents qui accompagnent leurs enfants au manège viennent se plaindre. En plus, les gens font leurs besoins dans le parc derrière ma boutique, on y retrouve du papier toilette. »

     Propreté douteuse

     Bref recensement des autres « petits coins » lavallois. Hormis une seule toilette payante à la médiapôle, on trouve principalement des urinoirs, à l'hygiène plus que douteuse. Pour Isabelle, qui court régulièrement le long de la Mayenne, « il est difficile de faire une pause en centre-ville si besoin est ». Quai Paul-Boudet, se situent des urinoirs en fer forgé, négligés. Sur l'autre rive, quai d'Avesnières, des toilettes turques à l'arrière de l'écluse, sont aussi à la disposition du public. La propreté n'est pas au rendez-vous.

     Du coup, il ne reste qu'à se rabattre sur les toilettes du square de Boston. « Ce lieu est complètement abject », confient les boulistes, une trentaine à jouer tous les jours de 14 h à 19 h. « On voit régulièrement les touristes rebrousser chemin face à l'état de ces toilettes publiques. L'an passé, on les a montrées au maire. Un projet de réaménagement du square serait à l'étude, on espère que les toilettes en font partie. »

     La situation est similaire près du tribunal, place Saint-Tugal, où une guérite abrite une toilette turque. Des mouches, une odeur pestilentielle qui présage d'une absence prolongée de nettoyage. Question hygiène, le passage d'un employé municipal est prévu quotidiennement. Mais dans certains petits endroits, c'est plus qu'un nettoyage qu'il faudrait.

     Le responsable du patrimoine voulait récemment changer le nom du "Vieux Laval" : nous lui suggérons "Clochemerle", car, à Laval, le roman de Gabriel Chevallier est en train de compléter l'œuvre du père Ubu.

     Pas à l'aise…

     La lecture de cet article a fait trembler l'entourage de d'Aubert, heureusement en vacances, et a transformé quelque peu son cabinet politique en cabinet d'aisance.

     Tous sans-papiers ! 

     Bien évidemment, non seulement les toilettes restantes sont peu reluisantes, mais inutile d'y chercher du papier… C'est un luxe que la ville ne peut offrir.

     Faut pas pousser !!!

     Les lavallois se souviennent que les toilettes publiques municipales, installées à l'époque sous la gare des TUL, étaient ouvertes 7 jours sur 7, gardées et nettoyées en permanence par une employée municipale (il y avait même une pancarte "pourboire interdit"). A leur départ en retraites, les postes des "dames pipi" ont été supprimés, et les toilettes publiques ont été remplacées par de l'automatique. Voilà des économies bien peu avisées, qui démentent le dicton que "l'argent n'a pas d'odeur". Même en ces lieux, un peu de présence humaine est pourtant bien appréciée… Il s'agit là d'un service public de base qu'une municipalité a le devoir de maintenir : c'est le moindre des respects pour les administrés.

     L'explication ?

     En fait, Laval se veut la capitale mondiale de la "réalité virtuelle" : pour les toilettes publiques, c'est une réussite…   


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  • Le revers de la médaille

    L'invitation pour la remise de la breloque....

     

     

     

     

     

     

     

     

    Quand un dirigeant est honoré, c'est bien souvent toute son équipe, toute son entreprise, toute sa collectivité qui se sent aussi à l'honneur.  

    Ce ne sera pas le cas pour une légion de fonctionnaires de la Mairie de Laval, le 29 juin 2006, lorsque M. Raffarin remettra à M. d'Aubert, les insignes de chevalier dans l'ordre de la légion d'honneur. 

    Pas honorés, les agents de la "France d'en bas" qui subissent le système ! 

    Pas honorés, les agents mis en surnombre en 1998, et réintégrés par la justice 8 mois plus tard ! 

    Pas honorée l'agent municipale, révoquée pour "abandon de poste", qui vient de faire condamner d'Aubert par le tribunal administratif de Nantes, et a obtenu sa réintégration dans les services municipaux. Ce cas révèle les conceptions humanistes de M. d'Aubert, dont les arguments pitoyables (cf son mémoire en défense), n'ont pas convaincu les juges qui ont validé la défense de l'agent… 

    Lisez les arguments échangés (voir le dossier complet), et le jugement du Tribunal administratif de Nantes

    Et laissez MM Raffarin et d'Aubert, tous ceux de la "France d'en haut", déguster les petits fours avec la satisfaction du devoir accompli… 

    Et imaginons le discours plein de "raffarinades" 

    "Notre route est droite, mais la pente est forte… Les jeunes sont destinés à devenir des adultes… L'avenir est une suite de quotidiens…Je vous recommande la positive attitude… Tant que le navire n'a pas heurté l'iceberg, la croisière continue"…


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